Une matinée hivernale au Brassus. Dans le lointain, la brume au-dessus du Lac de Joux.

Un maître horloger aux prises avec le modèle «Grande complication», qui compte plus de 600 composants.

C'est dans de telles boîtes étiquetées avec une écriture d'un autre âge que sont conservées des milliers de pièces de rechange. Si une montre ayant une valeur historique devait être réparée, deux ou trois heures de recherche dans ces cartons se révèlent souvent plus fructueuses que la fabrication de la pièce nécessaire.

Un élément en acier est chauffé jusqu'à devenir bleu.

Une pièce de la gamme «Grande complication», qui comprend notamment le chronographe, la rattrapante, la répétition minutes et le quantième perpétuel.

L'instrument qui permet de vérifier si les mouvements automatiques fonctionnent correctement.

Que serait un horloger sans sa lentille?

Dans la fabrique du Locle, on a recours à des technologies d'avant-garde pour la production de montres.

Au Locle, l'utilisation de matériaux inédits, comme la fibre de carbone, a produit des résultats probants.

Dans ces minuscules conteneurs de plastique, des centaines de pièces prêtes à être polies et assemblées.

Une sélection de calibres de grandeurs et matériaux divers.

Le tourbillon est affiné à l'aide de disques de bois.

Réalisé entièrement à la main, cet axe est destiné à l'édition limitée d'un chronographe.

Durant le processus d'assemblage, les calibres sont graissés automatiquement.

Chez Audemars Piguet, il arrive aussi que certaines montres soient produites en série.

Les calibres sont placés dans des conteneurs et passent ainsi d'une phase à l'autre du montage.

Chaque horloger effectue une tâche spécifique.

Le soir tombe sur le lac Brenet, dans la Vallée de Joux.