Alexander Thoele a commencé à travailler chez SWI swissinfo.ch en 2002. D’origine allemande et brésilienne, il est né à Rio de Janeiro et a fait des études de journalisme et d’informatique à Brasilia et à Stuttgart.
Né à São Paulo, au Brésil, travaille dans la rédaction portugaise de swissinfo.ch où il est responsable de la culture. Diplômé en cinéma, en gestion et en économie, il a été journaliste à Folha, un grand quotidien de São Paulo, avant de s’installer en Suisse comme correspondant pour divers organes de presse brésiliens. Établi à Zurich, Eduardo Simantob a travaillé dans les médias imprimés et digitaux. Il a aussi participé à des coproductions internationales de films documentaires, à des événements dans le domaine des arts visuels (3e biennale de Bahia; musée Johann Jacobs de Zurich) et a été conférencier invité sur le thème de la narration transmédia à la Haute école de Lucerne.
Brésilo-suisse, il est diplômé en journalisme et en communication sociale de l’Université de Fribourg. Il travaillait déjà pour Radio Suisse Internationale, devenue swissinfo.ch.
Avez-vous le sentiment que la désinformation représente un danger particulier pour les démocraties directes?
Un expert de l'EPFZ s'attend à ce que la désinformation soit particulièrement dangereuse pour les États où les votations sont nombreuses, comme la Suisse.
Comment éviter que l’IA ne soit monopolisée par des entreprises et des États puissants?
L'IA a le potentiel de résoudre de nombreux problèmes dans le monde. Mais les pays les plus riches et les entreprises technologiques pourraient chercher à accaparer ces avantages.