Les autorités sanitaires mexicaines ont conclu que la filiale du cimentier suisse Ecoltec n’est pas responsable de cas d’empoisonnement survenus dans la ville d’Apaxco.
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L’été dernier, des manifestations et l’organisation écologiste Greenpeace avaient bloqué l’usine de traitement de déchets Ecoltec. L’association à but non lucratif Pro Salud avait accusé l’entreprise d’avoir installé illégalement des conduits d’évacuation de déchets se déversant dans la rivière Salado.
Après avoir enquêté sur ces allégations, la commission mexicaine des eaux Conagua a conclu que «les installations d’Ecoltec ne comptent pas d’infrastructure hydraulique d’évacuation d’effluents dans les eaux ou le sol national».
«En conséquence, le déversement d’eaux résiduelles par Ecoltec dans les égouts est impossible», indique en substance le communiqué de Conagua envoyé à swissinfo.ch.
En juillet, le porte-parole d’Holcim Roland Walker avait catéroriquement démenti ces accusations contre la filiale mexicaine.
Depuis 2003, à Apaxco, Ecoltec transforme des batteries, des pneus et des déchets industriels en carburant permettant de faire fonctionner les fabriques de ciment de la région.
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