Les pourparlers indirects sur la Syrie doivent débuter vendredi à Genève, quatre jours après le calendrier prévu et deux ans après Genève II. Le retard est dû aux désaccords sur la liste des délégations présentes. Six mois de discussions sont prévues pour tenter de mettre fin à une guerre qui a déjà fait plus de 250'000 morts.
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swissinfo.ch avec la RTS (Téléjournal du 25 janvier 2016)
La première vague de discussions indirectes sans condition préalable doit durer deux à trois semaines. Elles doivent intégrer le régime et l’opposition. Des femmes et des représentants de la société civile figureront parmi les interlocuteurs.
Après les premières discussions, les parties auront ensuite le temps de mener des consultations. Et ce processus doit s’enchaîner jusqu’à ce que les conditions d’échanges directs soient réunies, pour une durée de six mois au maximum. La priorité sera d’établir un large cessez-le-feu et de mettre un terme à la menace de l’Etat islamique (EI).
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