Garde-frontière condamné pour la fausse-couche d’une réfugiée
La justice militaire a condamné un garde-frontière qui avait refusé une aide-médicale à une migrante enceinte lors de son renvoi vers l’Italie. Il s’en était suivi une fausse couche. La condamnation est de 7 moins de prison et 9000 francs d’amende avec sursis. Très médiatisé, ce procès avait soulevé la question de savoir quand débute réellement la vie.
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