Garde-frontière condamné pour la fausse-couche d’une réfugiée
La justice militaire a condamné un garde-frontière qui avait refusé une aide-médicale à une migrante enceinte lors de son renvoi vers l’Italie. Il s’en était suivi une fausse couche. La condamnation est de 7 moins de prison et 9000 francs d’amende avec sursis. Très médiatisé, ce procès avait soulevé la question de savoir quand débute réellement la vie.
Ce contenu a été publié le 08 décembre 2017 - 09:19Cet article a été importé automatiquement de notre ancien site vers le nouveau. Si vous remarquez un problème de visualisation, nous vous prions de nous en excuser et vous engageons à nous le signaler à cette adresse: community-feedback@swissinfo.ch