Champs de patates dans le district de Wangdue Phodrang. Les pommes de terre sont surtout cultivées entre 1800 et 3000 mètres d'altitude, en rotation avec d'autres cultures. (Singye Wangchuk, swissinfo.ch)
Champs de pommes de terre à Phobjikha, à 3000 mètres d'altitude. (Walter Roder, Helvetas).
Les cultures ne sont pas très loin des habitations. (Walter Roder, Helvetas)
Même si les machines agricoles se sont diffusées, beaucoup de paysans du Bhoutan utilisent encore la force animale. (Walter Roder, Helvetas).
La lutte contre les mauvaises herbes est l'activité la plus pénible. (Walter Roder, Helvetas).
Le stockage des pommes de terre ne se fait pas toujours dans les meilleures conditions. (Singye Wangchuk, swissinfo.ch)
Le marché de Thimphu, la capitale du Bhoutan. Une bonne partie de la production est destiné à la consommation nationale. (Luigi Jorio, swissinfo.ch)
Un agriculteur à Khaling. Une bonne partie de la production est transportée vers la frontière indienne pour y être exportée. (Walter Roder, Helvetas)
Le transport des produits agricoles est assuré par des véhicules hauts en couleurs. (Luigi Jorio, swissinfo.ch)
Des agriculteurs attendent la mise en vente de leurs pommes de terre à Phuentsholing, sur la frontière entre le Bhoutan et l'Inde. (Walter Roder, Helvetas)
Les enchères sont le moment décisif pour les agriculteurs. Les prix dépendent de la demande du marché indien. (Walter Roder, Helvetas)
Le marché est un rendez-vous hebdomadaire pour les habitants de Thimphu, la capitale du Bhoutan. (Luigi Jorio, swissinfo.ch)
Le marché à Thimphu, la capitale du Bhoutan. (Luigi Jorio, swissinfo.ch)
Toutes les pommes de terre ne finissent pas en Inde, En 2005, la consommation annuelle par tête au Bhoutan a été estimée à 40 kilos, soit l'une des valeurs les plus élevées d'Asie. (Walter Roder, Helvetas)
Un tubercule pour lutter contre la pauvreté.
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L’introduction de nouvelles sortes de patates par Helvetas et la Direction suisse du développement et de la coopération a contribué à améliorer les conditions de vie des paysans du Bhoutan. Pour la population locale, les pommes de terre représentent désormais un source de revenus essentielle et une alternative à la cuisine traditionnelle faite à base de riz.
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