Le laboratoire du Mont Terri

Au coeur de la roche, des chercheurs suisses mais aussi du reste de l'Europe et du Japon étudient les propriétés des argiles à opaline. Leurs résultats sont ensuite échangés et servent à évaluer la faisabilité d'un entreposage des déchet radioactifs à long terme. (Photos: Christoph Balsiger, swissinfo)

Beaucoup de high tech et un zeste de mysticisme, avec en haut à gauche, Sainte Barbe, patronne des mineurs.

Les Argiles à Opalinus – un roche sédimentaire de 300 km de long dans la chaîne du Jura.

Les drapeaux suisse, européen et japonais.

Mouvements et variations sont tenus à l'oeil grâce au laptop.

Les fossiles d'ammonites "Leioceras opalinum" se rencontrent fréquemment dans les Argiles à Opalinus.

Des carottages permettent d'examiner les propriétés et la densité de la roche.

Une partie des analyses consistent à examiner la perméabilité de la roche près des zones de rupture.

Certains tests sont menés à l'aide d'instruments de mesure durant des années.

Dans ce puits de 7 m de profond, les chercheurs démontrent que l'eau de mer stockée dans la roche atteint sans problème les 100 degrés.

Les galeries sont consolidées à l'aide de béton pulvérisé.

Derrière le portail anti-feu, la galerie de sureté de l'autoroute.
Impressions d'une visite à 300 m sous terre.
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