Des idées folles aux implications sérieuses à Genève
-
Une équipe de l’EPFL de Lausanne a développé un exosquelette, présenté par l’ancienne athlète et artiste de cirque paraplégique Silke Pan. Le dispositif ouvre de nouvelles possibilités à des personnes en fauteuil roulant. Dahai Shao -
Engin motorisé pour aider un chien à marcher. Dahai Shao, swissinfo.ch -
E-Bike pliable. Dahai Shao, swissinfo.ch -
E-Bike plié. Dahai Shao, swissinfo.ch -
Un mannequin capable de repasser automatiquement une veste de l’intérieur. Dahai Shao, swissinfo.ch -
Une brosse pratique pour les toilettes. Dahai Shao, swissinfo.ch -
Un véhicule fou: le snowboard bike avec ses deux dispositifs de direction permet de faire des virages dans un espace étroit. Dahai Shao, swissinfo.ch -
Nouvelles variantes du légendaire Rubik's Cube. Dahai Shao, swissinfo.ch -
Deux en un : une cuillère-fourchette ou une fourchette-cuillère? Dahai Shao, swissinfo.ch -
La combinaison entre un couteau et un ciseau offre de nouvelles possibilités de couper. Dahai Shao, swissinfo.ch -
Cet outil peut produire de l’énergie avec du soleil ou du vent. Dahai Shao, swissinfo.ch -
Original ou copie? Le «Watch Detector» nous aide à le savoir. Dahai Shao, swissinfo.ch
Les gadgets extravagants ont fait la réputation du salon annuel des inventions à Genève. Les organisateurs semblent désormais vouloir se débarrasser de cette image, en accueillant plus d’instituts de recherche et d’universités. Ainsi, pour la première fois, l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) a son stand au salon.
Quelque 725 exposants de 40 pays sont réunis à Genève cette semaine pour la 45e édition de la plus grande foire du monde dédiée aux nouvelles créations. Plus de 1000 prototypes sont exposés, tous en compétition pour être commercialisés.
Le salon, qui se tient du 29 mars au 2 avril au centre des expositions de Palexpo, près de l’aéroport, est de plus en plus vu comme une vitrine technologique. Cette année, il y a moins de gadgets et plus d’inventions pratiques dans le domaine de la médecine, de la santé ou encore de l’énergie.
Près de 80% des exposants représentent désormais des universités, des instituts de recherche ou des entreprises. Jean-Luc Vincent, président-fondateur du salon, tente d’expliquer cette tendance: «Aujourd’hui, il est plus coûteux de créer une invention, surtout si on veut déposer un brevet. L’époque où un inventeur faisait son prototype dans son garage est révolue.»
Joignez-vous à la discussion