Sur le terrain d'exercice d'Epeisses, dans le canton de Genève, se trouvent plusieurs bâtiments démolis.
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Le cœur de la place d'armes de Genève est le village d'entraînement d'Epeisses, propriété de la Confédération, qui appartient à l'armée suisse, laquelle est également responsable du support et de l'entretien de l'installation.
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Les mesures sanitaires de lutte contre le coronavirus doivent également être respectées pendant les exercices de sauvetage.
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Un participant de l'équipe française de sauvetage s'apprête à traverser un plafond en béton de 20 centimètres d'épaisseur.
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Dans ces interstices difficilement accessibles se trouvent les figurants qui attendent d'être trouvés et sauvés.
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Dans la cavité d'un bâtiment effondré, une personne est extraite d'une caverne située en contrebas.
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Les sacs mortuaires ne sont certes pas utilisés lors de l'exercice, mais ils rappellent la gravité des scénarios à entraîner.
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Un figurant blessé est descendu en rappel sur une civière depuis le toit d'une des maisons.
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Quelque part à l'intérieur se trouve encore un figurant qui joue un blessé.
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Des membres de l'équipe de la Chaîne suisse de sauvetage s'apprêtent à dégager un figurant blessé du toit d'un bâtiment effondré.
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Le travail avec des machines et des outils lourds dans des espaces restreints est exigeant et pénible.
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Sur une surface de 10 hectares, les troupes de sauvetage et leurs partenaires sont préparés à une éventuelle intervention dans des conditions proches de la réalité.
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La Chaîne suisse de sauvetage fait partie des meilleures équipes de recherche et de sauvetage du monde. Environ 80 de ses membres et huit chiens ont été testés et reclassés par une équipe d'évaluation internationale en novembre.
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Un croquis sommaire sur place décrit la situation du bâtiment effondré, les dangers potentiels supplémentaires ainsi que les appareils techniques nécessaires.
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