16 mai, cour du Palais de l'Elysée... Jacques Chirac quitte les lieux, et les laisse à Nicolas Sarkozy. (Keystone)
Légendes des images: Bernard Léchot
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Le 6 mai à 20h00, la France découvre le nom de son nouveau président: Nicolas Sarkozy. Il entrera en fonction le 17 mai. D'ici-là, il s'accordera une parenthèse pour 'digérer la campagne' et 'se retrouver face à lui-même' pour 'habiter la fonction présidentielle'. (Keystone)
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Le 2 mai, c'est le jour du 'grand débat'. 180 minutes au cours desquelles la patience de Nicolas sarkozy contraste avec les emportements de Ségolène Royal... (swissinfo)
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Ce dimanche 22 avril, on a voté en France et dans le monde, en battant même des records de participation. Le verdict des urnes est clair: ce sont Nicolas Sarkozy (UMP) et Ségolène Royal (PS) qui s'affronteront à l'occasion du second tour de l'élection présidentielle, le 6 mai.
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Le 19 mars, Jean-Louis Debré, président du Conseil constitutionnel, annonce quels candidats ont reçu les 500 signatures d'élus requises pour pouvoir participer au 1er tour de l'élection présidentielle. Il s'agit d'Olivier Besancenot (Ligue communiste révolutionnaire), Marie-George Buffet (Parti communiste), Gérard Schivardi (Parti des travailleurs), François Bayrou (UDF), José Bové (altermondialiste), Dominique Voynet (Verts), Philippe de Villiers (Mouvement pour la France), Ségolène Royal (Parti socialiste), Frédéric Nihous (Chasse, Pêche, Nature et Traditions), Jean-Marie Le Pen (Front national), Arlette Laguiller (Lutte ouvrière) et Nicolas Sarkozy (UMP), dans l'ordre des candidats tiré au sort par le Conseil constitutionnel. (Keystone)
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Jacques Chirac, entré en politique en 1962 et en présidence de la République en 1995, réélu en 2002 face à Jean-Marie Le Pen, s'adresse à la France le 11 mars pour annoncer qu'il ne briguera pas un troisième mandat... Entre grandiloquence et émotion, c'est sa déclaration d'amour à la France qui restera dans les mémoires. (Keystone)
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Un sondage du 8 mars 2007 crédite le centriste François Bayrou (UDF) de 24% des intentions de vote au premier tour (26% pour Nicolas Sarkozy, 25% pour Ségolène Royal). Celui qui avait annoncé sa candidature le 2 décembre sous l'œil ironique de la classe politique et des médias ne fait plus du tout rire les états-majors de l'UMP et du PS. Quelques jours plus tard, l'institut de sondage avouera une 'erreur' dans ce thermomètre du 8 mars. Quoi qu'il en soit, l'impulsion est donnée... (Reuters)
Se présenter à une élection présidentielle à l'âge de 78 ans n'effraie pas le vieux tribun de la droite nationaliste, Jean-Marie Le Pen. Question d'habitude: il tente le coup à chaque présidentielle depuis 1974. En 2002, il faisait subir un électrochoc à la France en atteignant le 2e tour face à Jacques Chirac. Ce 25 février, il présente son programme lors de la «convention présidentielle» de son parti, le Front national. (Keystone)
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Le 12 février, le franco-suisse de l'étape, Jean-Philippe Allenbach, conscient de ce qu'il n'a guère de chances d'être élu président, appelle les régions, en particulier les régions frontières, «à tout faire pour aller chercher ailleurs l'autonomie politique, les moyens financiers et le respect culturel que la France leur refuse». N'ayant pas décroché les 500 parrainages requis, il annoncera le 19 mars vouloir s'exiler à... Genève. (swissinfo)
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José Bové sera-t-il, dans l'histoire de la République française, le premier candidat à la présidence à mener sa campagne depuis une cellule? Le 6 février, la justice française confirme la condamnation - à quatre mois de prison ferme - de l'Astérix de la Confédération paysanne, pour cause d'arrachage sauvage de maïs transgénique en 2004. (Keystone)
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Le 31 janvier à Paris, Nicolas Hulot peut dévoiler les signatures des dix candidats qui soutiennent son «pacte écologique». Quelques jours auparavant, il annonçait à la presse qu'il renonçait à participer lui-même à l'élection présidentielle. Soulagement des autres candidats, inquiétés par le poids médiatique de cet homme de télévision. (Keystone)
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Le 14 janvier 2007 à Paris, Nicolas Sarkozy, ministre de l'intérieur en charge, devenu le seul candidat UMP à la présidence après le retrait de Michelle Alliot-Marie, tient son discours d'investiture lors d'un congrès de son parti. Impact imparable qui va donner un solide coup de frein à l'élan de Ségolène Royal. (Keystone)
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Le 26 novembre 2006 à Paris, lors du Congrès d'investiture du candidat soutenu par le Parti socialiste, Ségolène Royal triomphe de ses rivaux Laurent Fabius et Dominique Strauss-Kahn. Pour la première fois de l'histoire de la République française, il semble qu'une femme ait des chances sérieuses d'accéder à la présidence du pays. (Keystone)
Du présent au passé, quelques moments clés de la campagne
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