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Federer confirme sa participation, une première depuis 2015

(Keystone-ATS) Roger Federer, arrivé mardi dans la capitale française, a confirmé sa participation au Masters 1000 de Paris, grand point d’interrogation depuis dimanche.

“Je préfère jouer des matches que rester à l’entraînement, tant que je n’ai pas le sentiment de prendre des risques au niveau physique en vue de Londres”, qui accueille le Masters de fin d’année (11-18 novembre), réunissant les huit meilleurs joueurs de la saison, a expliqué Federer en conférence de presse.

Exempté de premier tour et en quête d’un historique centième trophée, Federer affrontera mercredi (19h30) le Canadien Milos Raonic qui a battu le Français Jo-Wilfried Tsonga au terme d’un marathon 6-7 (4/7) 7-6 (7/5) 7-6 (7/5). Raonic, venait de connaître dernièrement l’élimination à trois reprises au premier tour, s’est accroché cette fois-ci face à Tsonga dans un match qui est allé trois fois au tie-break.

Le Bâlois a remporté onze des quatorze matches qui l’ont opposé au Canadien. Sa dernière défaite date de la demi-finale à Wimbledon en 2016. L’an dernier, Federer avait pris sa revanche en quarts de finale du tournoi londonien. Tout comme lors de leur dernier duel cette année à Stuttgart.

Un seul Bercy au palmarès

“J’ai le sentiment d’avoir bien récupéré de la semaine dernière. Aujourd’hui (mardi), je me sens bien”, a-t-il ajouté, 48 heures après son neuvième sacre à Bâle, dans sa ville natale, dimanche.

En début d’après-midi mardi, le tournoi parisien avait tweeté une photo du Suisse aux vingt couronnes en Grand Chelem aux côtés du directeur de l’épreuve Guy Forget, accompagné du message : “Regardez qui est arrivé !”.

Arrivé peu après 14h00 locales à Bercy, il s’est ensuite entraîné une quarantaine de minutes face au Français Guillaume Rufin, accompagné de son entraîneur Ivan Ljubicic.

Federer, 37 ans et no 3 mondial, ne s’est imposé qu’une fois à Bercy, en 2011. Lors de sa dernière apparition en date, en 2015, il s’était incliné en huitièmes de finale face à l’Américain John Isner.

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