Une eau si chère

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Transport d'eau à dos d'âne dans les environs de Douchambé, capitale du Tadjikistan. (SECO/PHOTOPRESS/Jean-Christophe Bott)

Une bonne partie de la population d'Asie centrale n'a pas l'eau courante. (SECO/PHOTOPRESS/Jean-Christophe Bott)

Paysage fluvial dans le massif du Pamir, à la frontière entre le Tadjikistan et l'Afghanistan. (SECO/PHOTOPRESS/Jean-Christophe Bott)

Le lac Nourak est l'un des plus importants lacs artificiels du Tadjikstan. (SECO/PHOTOPRESS/KEYSTONE/Jean-Christophe Bott)

Dastanbui Mamadsaïdov (à dr.), manager de Pamir Energy, dans la salle de contrôle de cette entreprise tadjike. (SECO/PHOTOPRESS/Jean-Christophe Bott)

La culture du coton est très gourmande en eau. (SECO/PHOTOPRESS/KEYSTONE/Jean-Christophe Bott)

Salle de bain et eau courante sont un luxe pour nombre de personnes en Asie centrale. (SECO/PHOTOPRESS/Jean-Christophe Bott)

La coopération suisse a permis l'améliorer l'accès à l'eau à Muminabad, dans le sud du Tadjikistans. (SECO/PHOTOPRESS/KEYSTONE/Jean-Christophe Bott)

Pas passionnant de remplir une citerne à la main. (SECO/PHOTOPRESS/KEYSTONE/Jean-Christophe Bott)

Le Syr Darya à Khujand est l'un des principaux fleuves d'Asie centrale. (SECO/PHOTOPRESS/Jean-Christophe Bott)

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L'eau va manquer de plus en plus en Asie centrale.

Les conflits provoqués par l’accès à l’eau ne font que commencer en Asie centrale.