De nouveaux obstacles sur le chemin d’Aebischer

Difficile d'imaginer aux Colorado Avalanche un meilleur professeur que Patrick Roy, considéré à 37 ans comme l'un des meilleurs gardiens du monde.
Il avait laissé entendre que l’heure de la retraite sonnerait pour lui à la fin de la saison 2002/2003.
Mais récemment, dans les colonnes du «Denver Post», Patrick Roy a clairement déclaré «qu’il pouvait bien s’imaginer jouer encore quelques saisons, tant il lui semblait détenir tous ses moyens et tenir la distance.»
S’il devait prolonger son contrat à son échéance, la voie serait ainsi bouchée pour son numéro 2 suisse.
«Je ne vais pas me prendre la tête maintenant, souffle-t-il. En une saison, surtout en NHL, il peut se passer beaucoup de choses.»
Surtout dans un club comme Colorado Avalanche, où la pression est énorme et où les objectifs sont élevés: ni plus ni moins que la Coupe Stanley. Tout faux-pas est interdit.
Et s’il devait s’avérer que Patrick Roy n’est pas décidé à abdiquer? «Dans ce cas, il sera toujours temps d’aviser. Je n’ai jamais caché que je souhaitais devenir gardien numéro un dans les 2-3 ans dans un club de NHL.»
Ce qui serait à Denver. Ou ailleurs.
swissinfo/Jonathan Hirsch

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