La mosquée qui bouscule les préjugés
Des hommes et des femmes qui prient ensemble, sous la direction d’une femme, qui ne porte pas de voile: il n’en faut pas plus pour faire de cette mosquée de Berlin, installée dans les locaux d’une église protestante, une incongruité pour certains musulmans et même une dérive à condamner fermement pour les fondamentalistes.
Ce contenu a été publié le 26 juin 2017 - 09:00Elle se veut progressiste et entend donner une autre image de l’islam. Fondée par une avocate germano-turque, elle accueille aussi une figure bien connue de l’islam progressiste en Suisse: Elham Manea, politologue à l’Université de Zurich et écrivaine, qui a déjà conduit des prières mixtes à Bâle et à Berne, et qui espère qu’un tel lieu puisse un jour exister en Suisse. Car, dit-elle, «la religion devrait être une relation spirituelle entre Dieu et l’individu. Elle n’a pas vocation à incarner un pouvoir ou une idéologie politique. Nous devons retrouver cette spiritualité au sein de notre religion. Car elle est là».
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