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Avez-vous émigré pour des raisons financières?

Modéré par: Samuel Jaberg

En Suisse aussi, de plus en plus de personnes peinent à joindre les deux bouts. Même si le taux d’inflation officiel y reste plus faible  que dans la plupart des pays européens, la hausse des loyers, des prix de l’énergie ou encore des primes d’assurance-maladie pèse de plus en plus sur le budget des ménages.

Ce thème fera l’objet de notre prochain débat filmé Let’s Talk, qui sera enregistré le 12 mai prochain au studio du Palais fédéral à Berne. La vie en Suisse était-elle trop chère pour vous? Est-ce pour cette raison que vous avez émigré? 

Si vous êtes intéressé à témoigner ou à poser des questions à nos expert-es au cours de l’émission, vous pouvez volontiers me contacter par e-mail: samuel.jaberg@swissinfo.ch  

De l’article Pour fuir la précarité, les seniors choisissent l’expatriation

De l’article Ils ont fui au Costa Rica pour éviter l’aide sociale en Suisse

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sialwe
sialwe
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Nous avons donc émigré en Espagne quand j'avais 53 ans. Pendant trois ans, j'ai tout préparé, j'ai fait une comptabilité sur ordinateur pour contrôler si nous pouvions respecter le coût de la vie calculé. Le programme est très complexe et je peux voir dans chaque domaine ce que j'ai dépensé par exemple par jour, par mois ou par an et où j'en suis par rapport au budget. Je vois ainsi rapidement où je dépense éventuellement trop et je peux m'adapter. Cela a parfaitement fonctionné après 23 ans. En outre, il faut s'intégrer dans le nouveau pays. J'ai toujours fait partie d'une chorale espagnole, et ils m'ont même élu au conseil d'administration pour les finances et les voyages. Nous avons ainsi créé un environnement social espagnol. Je ne regrette rien de notre émigration et je me sens chez moi ici.

Also wir sind nach Spanien ausgewandert als ich 53 war. Drei Jahre lang habe ich alles vorbereitet, habe eine Buchhaltung auf dem PC erstellt um zu kontrollieren ob wir die errechneten Lebenshaltungskosten einhalten können. Das Programm ist sehr komplex und ich kann in jedem Bereich feststellen was ich z.Bsp. pro Tag, pro Monat oder pro Jahr ausgegeben habe und wohin ich komme betreffend Budget. so erkenne ich schnell wo ich ev. zuviel ausgebe und kann mich anpassen. Hat jetzt nach 23 jahren bestens geklappt. Zudem sollte man sich im neuen Land integrieren. Ich bin immer in einem spanischen Chor, und die haben mich sogar in den Vorstand gewählt für die Finanzen und Reisen. Wir haben uns so ein spanisches Sozialumfeld aufgebaut. Ich bereue nichts betreffend unserer Auswanderung und fühle mich hier zuhause.

meitrea
meitrea
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J'ai d'abord émigré à l'étranger pour des raisons professionnelles. Mais ensuite, comme mes pensions de retraite à l'étranger ne me permettaient guère de vivre en Suisse, je suis resté à l'étranger. Une fois à la retraite, j'ai commencé à voyager. Comme un oiseau migrateur, j'ai parcouru des régions plus chaudes pendant l'hiver, que je n'aime pas. Il y a sept ans, j'ai visité pour la première fois l'Amérique latine. Je voulais connaître la culture de plus près. L'année suivante, je me suis rendu en Colombie et j'ai séjourné à un endroit. Tombé amoureux et suis revenu. Il y a deux ans, nous nous sommes mariés et j'ai trouvé un nouvel amour et une nouvelle patrie inespérés en Amérique latine. C'est ainsi que deux choses se sont rencontrées. L'aspect économique et l'aspect émotionnel.
Vous pouvez aussi en voir plus sur mon site web : http://www.dractor.com
Ou sur mon blog : meitrea.home.blog

Zuerst bin ich aus beruflichen Gründen ins Ausland ausgewandert. Dann aber, weil meine Auslandsrenten ein Leben in der Schweiz kaum ermöglicht hätten, bin ich im Ausland geblieben. Als ich pensioniert war habe ich angefangen zu reisen. Wie ein Zugvogel habe ich im Winter, den ich nicht mag, wärmere Regionen bereist. Vor 7 Jahren erstmals Lateinamerika. Ich wollte die Kultur näher kennenlernen, Bin im folgenden Jahr nach Kolumbien geflogen und habe mich an einem Ort aufgehalten. Verliebt und bin wiedergekommen. Vor 2 Jahren haben wir geheiratet und ich habe unverhofft in Lateinamerika eine neue Liebe und eine neue Heimat gefunden. So haben zwei Dinge zueinandergefunden. Der wirtschaftliche und der emotionale Aspekt.
Mehr ist auch auf meiner Webseite zu sehen: www.dractor.com
Oder in meinem Blog: meitrea.home.blog

Melanie Eichenberger
Melanie Eichenberger
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@meitrea

Très intéressant, merci beaucoup pour cet aperçu de votre histoire.

Sehr interessant, vielen Dank für den Einblick in Ihre Geschichte.

Rob Strating
Rob Strating
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En tant que Hollandais, je viens en Suisse depuis 64 ans déjà. J'ai appris le Schwiizerdütsch quand j'étais enfant, j'ai travaillé en Suisse et j'aime ma deuxième patrie.
Bien sûr, c'est cher par rapport aux Pays-Bas, mais on ne vit qu'une fois, non ?
Je me sens Uusland Schwiitzer et je veux le rester pour toujours !
Il y a un mois encore, j'ai reçu un compliment : "On n'entend pas que vous venez des Pays-Bas" !
Salutations
Rob Strating

Als Holländer komme ich schon 64 Jahre in der Schweiz. Ich habe als Kind Schwiizerdütsch gelernt, habe in der Schweiz gearbeitet und liebe meine zweite Heimat.
Natürlich ist es im Vergleich mit den Niederlanden teuer, aber wir leben nur einmal, oder?
Ich fühle mich Uusland Schwiitzer und möchte das immer bleiben!
Noch vor einem Monat habe ich ein Kompliment bekommen: "Man hört nicht dass Sie aus Holland kommen!"
Grüess
Rob Strating

Quilla
Quilla
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Oui, le coût de la vie est une des raisons, mais aussi parce qu'il y avait quelques vilains problèmes dans ma famille et que je n'ai pas trouvé de travail à mon retour en 2007. J'étais dans une situation très problématique et malheureusement dépendante de l'aide sociale. En 2013, je suis donc revenu. Tantôt parce que je ne pouvais plus supporter les méchancetés de ma mère, tantôt parce que j'ai pu reprendre ici mon travail de guide touristique.
Aujourd'hui, je ne peux plus le faire non plus pour des raisons de santé, mais le retour en Suisse signifie inévitablement la pauvreté pour les personnes âgées.
Amitiés

Ja, die Lebenskosten sind mit ein Grund, aber auch weil es in meiner Familie ein paar hässliche Probleme gab und ich nach meiner Rückkehr 2007 keine Arbeit gefunden habe. Ich war in einer sehr problematischen Situation und leider auf Sozialhilfe angewiesen. 2013 bin ich dann wieder zurück. Mal konnte ich die Boshaftigkeiten meiner Mutter nicht mehr aushalten, dann aber auch weil ich hier meine Arbeit als Fremdenführerin wieder aufnehmen konnte.
Heute kann ich das auch nicht mehr machen aus gesundheitlichen Gründen, aber in die Schweiz zurück heisst unweigerlich Altersarmut.
Liebe Grüsse

Melanie Eichenberger
Melanie Eichenberger
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@Quilla

Merci beaucoup pour vos explications. Où vivez-vous aujourd'hui ?

Vielen Dank für Ihre Ausführungen. Wo leben Sie heute?

Quilla
Quilla
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@Quilla

Aujourd'hui, je vis en Bolivie, mais je dois faire des recherches sur ma santé.

Heute Lebe ich in Bolivien, muss aber einiges Abklären wegen meiner Gesundheit

sialwe
sialwe
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Lorsque j'ai eu 50 ans, ma femme a eu l'idée que nous pourrions émigrer dans un pays où le coût de la vie est moins élevé et profiter de la vie là-bas. J'ai trouvé l'idée bonne et je suis parti en Espagne la même année pour visiter des endroits où nous pourrions nous plaire. Ensuite, j'ai fait des recherches pendant trois ans sur le coût de la vie et sur la manière dont nous pouvions le financer jusqu'à la retraite AVS, ainsi que sur la possibilité de travailler en cas de problème. J'ai créé un programme de comptabilité afin de déterminer si nous atteignons les objectifs de budget et, si ce n'est pas le cas, dans quel domaine nous nous écartons des objectifs. Depuis 23 ans, nous avons toujours été dans les limites du budget et avons pu profiter de la vie ici. Nous n'avons jamais regretté d'avoir émigré.

Als ich 50 wurde hatte meine Frau die Idee, wir könnten doch auswandern in ein Land mit tieferen Lebebshaltungskosten und das Leben dort geniessen. Ich habe ihre Idee gut gefunden und sind im gleichen Jahr nach Spanien greist und haben Orte besucht wo es uns gefallen könnte. Dann habe ich 3 Jahre lang recherchiert wie hoch die Lebenshaltungkosten sind und wie wir diese bis zur AHV-Rente finanzieren können, zudem ob wir ev. Arbeiten könnten falls etwas schief laufen würde. Ich habe ein Buchhaltungsprogramm erstellt um festzustellen ob wir die Butgetvorgaben erreichen und wenn nicht in welchem Bereich wir von den Vorgaben abweichen. Seit 23 Jahren waren wir immer im Budgetbereich und konnten das Leben hier geniessen. wir haben es nie bereut , auszuwandern.

Melanie Eichenberger
Melanie Eichenberger
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@sialwe

Bonjour, cela semble être une émigration très bien préparée et réfléchie. À quel âge avez-vous finalement émigré et quels conseils pouvez-vous donner aux personnes intéressées par l'émigration ?

Guten Tag, das klingt nach einer sehr gut vorbereiteten und überlegten Auswanderung. In welchem Alter sind sie schlussendlich ausgewandert und welche Tipps können Sie interessierten Auswanderern und Auswandererinnen mit auf den Weg geben?

Willi
Willi
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Pas du tout pour des raisons financières, bien au contraire. J'ai émigré par amour pour ma femme.

Überhaupt nicht aus finanziellen Überlegungen, ganz im Gegenteil. Ausgewandert aus Liebe zu meiner Frau.

Alain martinoli
Alain martinoli

Oui pour des raisons financieres et pour avoir une temperature ideale toute l'annee. J'aime l'Asie et j'adore visiter les differents pays qu'elle compose. J'encourage les personnes qui sont retirees a changer d'air.

Phaffner
Phaffner

Non j’ai émigré à cause de l’emploi. Des années à faire des recherches et pour finir trouver un job à 2000.- par mois c’était trop difficile. Je vais encore faire une tentative en espérant ne pas me faire prendre la place par un frontalier moins qualifié. A mon âge ça va être difficile mais je vais prendre le risque. Il

Melanie Eichenberger
Melanie Eichenberger
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@Phaffner

Vous allez essayer à nouveau de trouver du travail en Suisse ? Est-ce que cela a fonctionné entre-temps ?

Sie werden nochmals versuchen, in der Schweiz Arbeit zu finden? Hat es mittlerweile geklappt?

M-A-M
M-A-M
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Oui
J'ai émigré à 63 ans pour des raisons financières. Ma rente : 1500 Sfr ( la caisse de pension a été versée entièrement à mon premier mari par anticipation).
Même à la montagne, un petit appartement coûtait 1200 francs. Je me suis sentie en grande difficulté !
Je vis maintenant sur un autre continent - et je peux mener une vie assez agréable.
On peut mourir partout ! - Malheureusement, la vie ne l'est pas.
J'aime la Suisse et presque TOUT en elle et en elle !
Il m'était impossible de rester.

Ja
Ich bin aus finanziellen Gründen ausgewandert mit 63. Meine Rente: 1500 Sfr ( die Pensionskasse hat mein erster Mann im Voraus ganz ausbezahlt bekommen)
Selbst auf dem Berg kostete eine kleine Wohnung 1200 Sfr.. Ich fühlte mich arg in Bedrängnis!
Auf einem anderen Kontinent lebe ich nun - und kann ein recht gutes Leben führen..
Sterben kann man überall! - Leben leider nicht.
Ich liebe die Schweiz und nahezu ALLES an und in ihr!
Es war mir unmöglich zu bleiben.

Melanie Eichenberger
Melanie Eichenberger
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@M-A-M

Je suis désolé de l'apprendre. Où vivez-vous aujourd'hui et pouvez-vous quand même vous rendre en Suisse de temps en temps ?

Das tut mir leid zu hören. Wo leben Sie heute und können Sie ab und zu trotzdem noch in die Schweiz reisen?

jmafer
jmafer

Ma femme et moi avons quitté la Suisse pour des raisons purement financières. Au Portugal. nous pouvions vivre convenablement ce qui était impossible à notre âge dans notre pays.

Signe
Signe
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Non, mon mari voulait divorcer et je suis retournée dans mon pays natal.

Nein, mein Mann wollte die Scheidung und ich bin in mein Geburtsland zurückgegangen

Dietz
Dietz
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J'ai travaillé en Suisse jusqu'à 46 ans, j'ai perdu mon emploi, j'ai ensuite envoyé plus de 100 candidatures, je me suis présenté personnellement dans plus de 30 entreprises et presque partout, on m'a répondu que j'étais trop cher pour l'entreprise. Je viens du canton du Tessin, le canton qui est envahi chaque jour par plus de 75 000 frontaliers, où j'aurais, en tant qu'autochtone, un salaire minimum de 4500 euros, mais où le frontalier travaille pour 1000 euros de moins, et s'il râle, il peut s'en aller, car il y a déjà d'autres personnes à la porte qui veulent travailler là-bas. Même après avoir cotisé pendant des années auprès des syndicats pour la protection du travail, je n'ai pas été aidé, car ces personnes sont devenues des frontaliers italiens et s'engagent principalement pour leurs compatriotes et non pour les autochtones. A Bellinzona aussi, tous les offices cantonaux sont désormais occupés par des frontaliers et ne s'intéressent pas aux préoccupations des autochtones, c'est pourquoi j'ai émigré en Allemagne par désespoir et manque de travail, j'ai perdu tout ce que j'avais, ma femme m'avait quitté. Cela fait maintenant 8 ans que je suis en Allemagne, j'ai un bon travail, je gagne suffisamment pour mener une vie décente et on m'aide en cas de problème.

Ich habe bis 46 Jahre in der Schweiz gearbeitet, hatte meinen Job verloren, hatte danach über 100 Bewerbungen fortgeschickt, bin persönlich bei über 30 Betriebe vorstellig gewesen und fast überall bekam ich die Antwort dass ich für den Betrieb zu teuer wäre. Ich komme aus dem Kanton Tessin, der Kanton wo jeden Tag von über 75'000 Grenzgänger überrannt wird, wo ich als einheimischer ein Mindestlohn von 4500.- Hätte, aber der Grenzgänger für 1000.- Weniger Arbeitet und wenn der motzt dann kann er gehen denn es stehen schon andere in der Tür wo dort Arbeiten möchten. Auch nach jahrelangen Beitragszahlung an die Gewerkschaften für den Arbeitsschutz wurde mir nicht geholfen denn auch diese Leute sind mittlerweile Grenzgänger aus Italien und setzen sich hauptsächlich für ihre Landsleute ein und nicht für die Einheimischen. Auch in Bellinzona , die ganzen Kantonalen Ämter sind mittlerweile von Grenzgänger belegt und interessieren sich nicht für die Anliegen der Einheimischen , daher bin ich aus Verzweiflung und Arbeitsmangel nach Deutschland ausgewandert, habe alles verloren wo ich hatte, meine Frau hatte mich verlassen. Nun bin ich seit 8 Jahren in Deutschland, habe einen guten Job, verdiene genug um ein anständiges Leben zu führen und es wird einem geholfen wenn es Probleme gibt.

Melanie Eichenberger
Melanie Eichenberger
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@Dietz

Merci beaucoup pour votre intervention. Pouvez-vous dire aujourd'hui "tout est bien qui finit bien" ?

Vielen Dank für Ihre Ausführungen. Können Sie heute sagen, "Ende gut alles gut"?

Dietz
Dietz
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@Melanie Eichenberger

Eh bien, j'aurais aimé rester dans mon pays, mais dans l'ensemble, on peut dire que tout est bien qui finit bien.

Nun, ich währe schon gerne in meiner Heimat geblieben, aber im großen ganzen kann man sagen , Ende gut alles gut.

JB54
JB54

J'ai travaillé pendant 49 ans et 3 mois avec un salaire convenable. Mon 2ème pilier a été diminué à cause du partage pendant le divorce. Résultat je me suis retouvé à la retraite avec un revenu de 2500frs par mois. Tout simplement invivable en Suisse. Je suis parti vivre au pays de mon épouse, en Bulgarie et nous vivons simplement sans manquer de rien ou d'avoir peur de la fin du mois. Je suis très bien ici.

Samuel Jaberg
Samuel Jaberg SWI SWISSINFO.CH
@JB54

Cher Monsieur, merci de votre témoignage! Seriez-vous intéressé à participer à notre émission du 12 mai prochain? Si oui, vous pouvez très volontiers m'écrire à samuel.jaberg@swissinfo.ch. Merci d'avance!

RUTH JILANI
RUTH JILANI
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Non, nous avons travaillé pendant des années pour des entreprises suisses dans le monde entier. Nous avons commencé par la BBC, puis ABB, et maintenant General Electric. Nous avons été transférés d'un pays à l'autre et avons mené une vie très riche sur le plan culturel. Pour être honnête, nous avons fait beaucoup pour la Suisse avec les nombreux contrats et projets qui ont soutenu l'économie suisse et assuré de nombreux emplois. Maintenant, après toutes ces années, nous revenons toujours avec plaisir en Suisse et représentons les valeurs et la culture suisses dans le monde entier. Mais nous sommes également déçus de l'évolution de la Suisse au cours des trois dernières années. La liberté d'expression telle que nous la connaissons dans une démocratie est très limitée. Presque tous les journaux suisses ne représentent plus que des gens qui pensent comme eux et, pour être tout à fait honnête, il suffit aujourd'hui de lire un seul journal pour les avoir tous lus. Sauf bien sûr la Welt Woche, qui est critique et très informée et qui a aussi le courage d'avoir un autre point de vue qui peut souvent être étayé par la vérité de notre passé et de notre histoire. Je trouve cela très triste, car nous, les Suisses, avons survécu pendant plus de 700 ans en restant neutres et en ne nous impliquant jamais dans d'autres guerres. En s'engageant aujourd'hui dans une guerre américaine, de l'OTAN ou par procuration, même si l'on commence à se rendre compte que ce n'était pas la meilleure décision, nous avons considérablement et fondamentalement trompé notre État de droit. J'espère qu'il y aura un retour en arrière, car cela a déjà été le cas avec Mussolini et nous avons retrouvé le chemin de la neutralité sans vaciller. Avec toutes ces pensées, nous resterons encore un certain temps à l'étranger, où règnent des pensées plus généreuses, et nous continuerons à défendre les valeurs suisses.

Nein, wir haben Jahre lange für Schweizer Firmen Welt weit gearbeitet. Angefangen mit BBC dann ABB, und nun General Electric. Wir sind von land zu land versetzt worden und haben ein sehr Kulturelles reiches leben geführt. Um ehrlich zu sein haben wir viel für die Schweiz erreicht mit den vielen Aufträgen und Projekte die die Schweizerische Wirtschaft gefördert hat und auch immer viele Arbeitsplätze gesichert hat. Nun nach all den Jahren gehen wir immer wieder gerne in die Schweiz und vertreten auch Schweizerische Werte und Kultur Welt weit. Sind aber auch enttäuscht wie sich die Schweiz in den letzten 3 Jahren entwickelt. Meinungsfreiheit so wir das in einer Demokratie kennen ist sehr eingeschränkt. Fast alle Schweizer Zeitungen vertreten nur noch gleichdenkende und um ganz ehrlich zu sein muss man heute nur noch eine Zeitung lesen dann hat man gleich alle gelesen. Ausser Natürlich die Welt Woche die kritisch und sehr informiert ist und auch den Mut hat eine andere Sicht zu haben die oft mit der Wahrheit unsere vergangenheit und Geschichte belegt werden kann. Dass finde ich sehr traurig den wir Schweizer haben über 700 jähre überlebt in dem wir Neutral blieben in dem wir uns nie in andere Kriege eingemischt haben. Mit der heutigen einmischen in einem Amerikanischen, Nato, Proxy Krieg wenn auch langsam die Einsicht kommt, dass es nicht die beste Entscheidung war haben wir unseren rechts Staat erheblich und fundamental betrogen. Ich hoffe es gibt einen weg zurück denn das war ja auch schon mal der Fall mit Mussolini und wir fanden den weg wieder zur Neutralität ohne zu schwanken. Mit all den Gedanken bleiben wir noch eine zeit im Ausland da grosszügigere Gedanken walten und werden weiter die Schweizer werte verteidigen.

gregor brunner
gregor brunner
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A 45 ans (j'en ai maintenant 58), je suis tombé amoureux d'une fonctionnaire allemande après ma séparation d'avec mon ex-femme et j'ai déménagé en Allemagne à cause d'elle. OK, ce n'est pas la peine de déménager de Bâle à Bonn, mais les conséquences sont importantes.
1) En tant que spécialiste recherché dans le domaine des paiements et de la gestion de produits, on est très bien accueilli en Allemagne et on peut tout à fait emporter son salaire suisse si on négocie bien. Véhicule de société, prestations sociales et bien d'autres choses encore sont absolument normales et toujours présentes en Allemagne pour les spécialistes. D'ailleurs, pour les chefs de produit, c'est très intéressant car il n'y a qu'une seule langue, l'allemand.
2. la protection contre le licenciement après un délai de 6 mois est bien meilleure qu'en Suisse, de même que les indemnités de licenciement et leur mise en œuvre.
3. contrairement à ce que l'on pense, les employeurs sont beaucoup plus équitables en Allemagne qu'en Suisse, ce qui est probablement dû au fait que les comités d'entreprise et les syndicats sont beaucoup plus forts qu'en Suisse. Les salaires ne sont certes pas encore publiés, mais on y travaille en Allemagne, y compris pour le Gender GAP.
4. le coût de la vie est facilement réduit de moitié par rapport à la Suisse, et ce dans tous les domaines. Les produits alimentaires et pas seulement ceux d'Aldi, etc., les assurances, les coûts de l'énergie, les impôts (oui, même ceux qui dépendent du revenu), les prix des terrains, les loyers et les services comme les peintres et surtout les médecins.
5. les autorités sont ici orientées vers le service, même si tout Allemand me marmonne le contraire. La police fait ici un super travail et n'essaie pas de rapporter le plus d'argent possible au Trésor public. Le service des citoyens fait tout ce qu'il peut pour vous aider, pas comme en Suisse où vous devez appeler pour savoir ce qui s'est passé avec votre demande.
6) En ce qui concerne le salaire et la prévoyance vieillesse, il n'y a pas non plus de soucis à se faire ici (toujours en comparaison avec la Suisse). Bien sûr, je ne reçois que 50% de mon salaire, mais tout le reste, comme les impôts et la prévoyance vieillesse, est réglé. Il faut bien faire quelques réserves, mais elles sont aussi encouragées par l'État.

Conclusion :
Le manque de main-d'œuvre qualifiée en Allemagne permet à de nombreuses professions, comme les artisans de tous types, les spécialistes en informatique et désormais aussi dans le domaine médical, d'avoir des possibilités insoupçonnées de se réaliser en Allemagne. Il suffit d'acheter une plus grande maison ou de rouler en moto sans craindre les contrôles radar. Je ne peux donc que recommander ce grand canton.

Ich habe mit 45 (bin nun 58) Jahren mit nach der Trennung von meiner Exfrau in eine deutsche Beamtin verliebt und bin daher wegen Ihr nach Deutschland gezogen. OK das ist nun nicht soweit von Basel nach Bonn zu ziehen aber die Folgen sind dennoch erheblich.
1. Als gesuchter Spezialist im Bereich Payment und Produkt Management ist man in Deutschland sehr willkommen und kann seinen Schweizer Lohn durchaus mitnehmen wenn man gut verhandelt. Firmenfahrzeug, Soziallleistungen und vieles mehr sind in Deutschland für Fachkräfte absolut normal und immer dabei. Übringens für die Produkt Manager sehr interesssant es gibt nur eine Sprache, deutsch.
2. Der Kündigungsschutz ist nach einer 6-monatigen Frist um Welten besser als in der Schweiz auch die Abfindungen, ebenso diese durchzusetzen.
3. Entgegen der Meinungen sind die Arbeitgeber in Deutschland viel fairer als in der Schweiz was aber vermutlich mit den im Vergleich zur Schweiz viel stärkeren Betriebsräten und Gewerkschaften zu tun hat. Die Löhne sind zwar noch nicht offen gelegt aber daran wird in Deutschland gearbeitet auch für den Gender GAP.
4. Die Lebenshaltungskosten reduzieren sich locker um die Hälfte gegenüber der Schweiz und das in allen Bereichen. Lebensmittel und nicht nur die von Aldi usw, Versicherungen, Energiekosten, Steuern (ja auch die, je nach Einkommen), Grundstückpreise, Mieten und Dienstleistungen wie Maler und besonders Ärzte.
5. Die Behörden sind hier Serviceorientiert auch wenn mir hierbei jeder Deutsche gleich das Gegenteil aufmurmelt. Die Polizei macht hier einen Super Job und versucht nicht möglichst viel Geld für die Staatskasse einzunehmen. Der Bürherservice macht alles was er kann um einem zu helfen und nicht wie in der Schweiz wo man anrufen muss was mit dem Antrag den nun passiert ist.
6. Bei Lohn und Altersvorsorge muss man sich hier auch keine Gedanken machen (immer im Vergleich zur Schweiz). Klar kriege ich nur 50% meines Lohnes ausbezahlt aber dafür ist der genze Rest wie Steuer und Altersvorsorge geregelt. Gut ein bisschen Reserven sollte man dann schon noch anlegen aber auch die werden von Staat gefördert.

Fazit:
Der Facharbeitermangel in Deutschland ermöglicht ganz vielen Berufen wie Handwerker jeder Art, IT-Spezialisten und inzwischen auch im medizinischen Bereich ungeahnte Möglichkeiten sich in Deutschland zu verwirklichen. Einfach mal ein grösseres Haus oder mit dem Motorrad ohne Angst vor Radarkontrollen durch die Gegend zu cruisen. Daher kann ich den grossen Kanton nur empfehlen.

Beat Paolo Kofler
Beat Paolo Kofler
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Oui, j'ai émigré uniquement pour des raisons financières. Après un accident, je ne pouvais plus travailler comme chef de cuisine, mais après de longues discussions, la SUVA m'a accordé une mini-rente. J'ai continué à travailler pendant quelques années dans d'autres professions, jusqu'à ce que je n'en puisse plus. Une demande de rente SUVA plus élevée a été refusée sans ménagement. À 63 ans, je ne pouvais presque plus marcher, et encore moins travailler correctement, alors je me suis inscrit à l'AVS. Avec 2300 rentes, je ne voyais pas comment je pourrais mener une vie un peu plus décente en Suisse. Grâce à une connaissance, j'ai pu acheter une maison assez correcte ici en Hongrie, à un prix où je n'aurais même pas pu acheter un garage en Suisse. Cela fait maintenant huit ans que je vis en Hongrie, je m'en sors très bien avec mes rentes, j'ai même pu investir plus de 20 000 francs dans la rénovation de ma maison au cours des huit dernières années. Je suis très content de l'avoir fait le plus rapidement possible, car l'année dernière, nous avons connu un renchérissement de 35%, en particulier dans le secteur de la construction. Je ne pourrais plus me permettre de construire ou de rénover dans la même mesure. Entre-temps, je me suis habitué à la mentalité hongroise et je peux la gérer. Je suis heureux et satisfait dans ma propre maison avec un grand jardin et une pálinka fösző professionnelle (distillateur de 100 litres). En Suisse, je serais sous perfusion sociale, ce que je n'ai jamais voulu et j'aurais honte de devoir vivre aux crochets des contribuables. Dans l'ensemble, je pense avoir fait le maximum pour pouvoir vivre les dernières années de ma vie en toute sérénité et sans pression financière.
En attendant, je connais au moins 100 Suisses qui ont fait de même.

Ja, ich bin ausschliesslich aus finaziellen Gründen ausgewandert. Nach einem Unfall konnte ich nicht mehr im gelernten Beruf als Küchenchef atbeiten, nach langen hin und her hat mir die SUVA eine Minirente zugesprochen. Ich habe noch einige Jahren in anderen Berufen gearbeite, bis es einfach nicht mehr ging. Eine Anfrage um eine höhrer SUVA Rente wurde schnöde abgelehnt. Mit 63 konnte ich kaum mehr gehen, geschweige denn, etwas vernünftiges arbeiten, also meldete ich mich bei der AHV an, mit kanpp 2300 Renten sah ich in der Schweiz keine Möglichkeit, ein einigermasssen vernünftiges Leben zu führen. Durch eine Bekannte konnte ich hier in Ungarn ein recht ordentliches Haus kaufen, zu einem Preis wo ich in der Schweiz nicht mal eine Garage hätte kaufen können. Nun lebe ich also seit acht Jahren in Ungarn, hier komme ich mit meinen Renten ganz gut zurecht, konnte sogar in den vergangenen acht Jahren über 20 000 Franken in die Renovation meines Hauses stecken. Ich bin sehr froh, das schnellstmöglichst gemacht zu haben, jetzt hatten wir im letzetn Jahr eine Teuerung von 35%, insbesonders in der Baubrache. Ich könnte mir jetzt den Ambau/die Renovation im gleichen Mass nicht mehr leisten. Inzwischen habe ich mich au an die ungarische Mentalität gewöhnt und kann damit umgehen. Ich bin glücklich und zufrieden im eigenen Haus mit grossem Garten und einer profesionellen Pálinka fösző (100 Liter Destilieranlage). In der Schweiz würde ich am sozialen Tropf hängen, und das habe ich nie gewollt und ich würde mich schämen, von den Steuerzahler leben zu müssen. Alles in Allem meine ich, das Beste aus den Möglickeiten gemacht zu haben, um die letzetn Lebenjahre unbeschwert und ohne finanziellen Druck leben zu können.
Mitterweil kenne ich mindestens 100 Schweizer, die es auch so gemacht haben.

Melanie Eichenberger
Melanie Eichenberger
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@Beat Paolo Kofler

Cher Monsieur Kofler, merci pour cet aperçu. Aimeriez-vous intervenir le 12 mai dans l'émission "Let's Talk" ? Nous en serions ravis. N'hésitez pas à vous inscrire auprès de melanie.eichenberger@swissinfo.ch .

Lieber Herr Kofler, danke für diesen Einblick. Hätten Sie Lust, am 12. Mai in der Sendung "Let's Talk" mitzureden,? Wir würden uns freuen. Melden Sie sich doch bei melanie.eichenberger@swissinfo.ch .

Luis Fernandez 1951
Luis Fernandez 1951

43 ans de travail en Suisse , préretraite à 59 ans (stress complet lié aux contraintes
des entreprises années 2010) résultat : 1945 francs AVS et 920 frs caisse de pension.
Sans propriété en Suisse , j’ai toujours vécu de location . La plupart du temps dans des
petits villages du pied du Jura , où la location de logement est (était) assez avantageuse.
Pour ne pas tomber dans l’aide sociale , comme beaucoup d’autres , j’ai dû m’expatrier
en Espagne , faisant partie de la “5ème suisse” . Á mon grand regret , la Suisse est
devenue pour moi un destin “exotique” . Pour tuer la nostalgie ? Quelques jour par an
en payant le prix fort …

Samuel Jaberg
Samuel Jaberg SWI SWISSINFO.CH
@Luis Fernandez 1951

Cher Monsieur, merci de votre témoignage! Seriez-vous intéressé à participer à notre émission du 12 mai prochain? Si oui, vous pouvez très volontiers m'écrire à samuel.jaberg@swissinfo.ch. Merci d'avance!

wruchet
wruchet

j'ai pris ma retraite à 60 ans et la réduction de ma rente ne m'aurait pas permis de continuer ma vie à Genève.
Ici je suis propriétaire et je vis très bien au soleil du sud de la France

swissman53
swissman53
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J'avais une petite épicerie avec ma femme de l'époque. Notre chiffre d'affaires n'était pas important, mais nous arrivions tout juste à nous maintenir à flot. Bien sûr, les cotisations AVS n'étaient pas élevées. A 50 ans, j'ai quitté mon entreprise et ma femme et j'ai émigré en Australie et quelques années plus tard en Thaïlande, mais j'ai toujours continué à payer mon AVS. Aujourd'hui, je perçois une AVS de 1500 mt. Ma femme thaïlandaise actuelle a été mise à la retraite ce mois-ci, elle reçoit tout de même une rente d'environ 600 francs par mois en tant qu'employée de l'Etat. Ce qui est beaucoup en Thaïlande. L'État devrait être reconnaissant envers nous, les retraités, de lui épargner quelques prestations complémentaires, mais il n'arrive même pas à organiser une caisse maladie abordable pour nous, les Suisses de l'étranger. Nous sommes obligés d'avoir une caisse maladie internationale, avec des frais exorbitants et il est pratiquement impossible d'assurer les maladies préexistantes. J'ai une bonne vie ici en Thaïlande. On n'est pas simplement envoyé dans une maison de retraite quand on a besoin de soins, mais toute la famille s'occupe de nous, si bien qu'on ne passe en fait que les tout derniers jours à l'hôpital. Je n'ai pas regretté un seul jour d'avoir émigré.

Ich hatte mit meiner damaligen Frau ein kleines Lebensmittelgeschäft. Unser Umsatz war nicht gross, doch konnten wir uns knapp über Wasser halten. Natürlich waren die AHV Beiträge nicht hoch. Mit 50 Jahren verliess ich Geschäft und Frau, und wanderte aus nach Australien und ein paar Jahre später nach Thailand, habe aber immer meine AHV weiter bezahlt. Nun erhalte ich eine AHV von 1500.- mt. Meine jetzige Thaifrau wurde diesen Monat pensioniert, erhält als Staatsangestellte immerhin eine Rente von etwa Fr 600.- mt. Was sehr viel ist in Thailand. Der Staat sollte uns Rentnern eigentlich dankbar sein, dass wir ihm einiges an Ergänzungsleistungen ersparen, bringt es aber nicht einmal fertig, für uns Auslandsschweizer/innen eine bezahlbare Krankenkasse zu organisieren. Wir sind gezwungen eine internationale Krankenkasse zu haben, mit horrenden Gebühren und es ist praktisch unmöglich Vorerkrankungen mitzuversichern. Ich habe hier in Thailand ein gutes Leben. Man wird nicht einfach in ein Altersheim abgeschoben, wenn man pflegebedürftig wird, sondern die ganze Familie kümmert sich um einen, sodass man eigentlich nur die allerletzten Tage im Spital verbringt. Ich habe es keinen Tag bereut, ausgewandert zu sein.

Melanie Eichenberger
Melanie Eichenberger
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@swissman53

Merci beaucoup pour cet aperçu de votre situation. L'assurance maladie en Thaïlande a également été abordée dans notre article de fin mai : [url=https://www.swissinfo.ch/ger/auslandschweizer-eda-schweiz-seniorenmanagement-im-ausland/47619834?utm_campaign=teaser-in-article&utm_content=o&utm_source=swissinfoch&utm_medium=display]http://s.swissin.fo/hLeOctu[/url]

Vielen Dank für den Einblick in Ihre Situation. Die Krankenkasse in Thailand war in unserem Artikel von Ende Mai ebenfalls ein Thema: [url=https://www.swissinfo.ch/ger/auslandschweizer-eda-schweiz-seniorenmanagement-im-ausland/47619834?utm_campaign=teaser-in-article&utm_content=o&utm_source=swissinfoch&utm_medium=display]http://s.swissin.fo/hLeOctu[/url]

Max Müller
Max Müller
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J'ai perdu mon emploi de "directeur" en 2007 (à 57 ans, je ne convenais pas vraiment aux autorités). Par hasard, j'ai eu la chance de continuer à travailler dans une fonction similaire ici, dans le sud de la Turquie, ce fut une grande satisfaction et aujourd'hui, ma femme et moi profitons pleinement de la vie de retraité. Nous comparons sans cesse ce qui est possible ici et ce qui le serait en Suisse - il y a un "monde" entre les deux !!! bien que nous soyons toujours enregistrés en Suisse, bien sûr à cause de la prévoyance santé et uniquement à cause de celle-ci, nous devrions faire d'énormes concessions en Suisse - nous allons bien !!!

İch hatte 2007 meinen Job als “Geschäftsführer“ verloren ( mit 57, ich passte der Obrigkeit einfach nicht so richtig in ihr Gusto) per Zufall erhielt ich die Chance in ähnlicher Funktion hier in der Südtürkei weiter zu arbeiten, es war eine grosse Genugtuung und heute geniessen meine Frau und ich das pensionierten- Leben in vollen Zügen. Immer wieder vergleichen wir, was hier möglich ist und wie es in der Schweiz wäre - da sind „Welten“ dazwischen !!! obwohl wir nach wie vor in CH gemeldet sind, natürlich wegen der Gesundheitsvorsorge und nur wegen dieser, müssten wir in der Schweiz enorm Abstriche machen - uns gehts gut!!!

Melanie Eichenberger
Melanie Eichenberger
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@Max Müller

Je suis heureux que vous alliez bien et que la perte de votre emploi soit devenue une véritable bénédiction pour vous et votre femme. Le fait que vous viviez en Turquie mais que vous n'ayez pas déclaré votre domicile en Suisse ne vous a pas posé de problème jusqu'à présent ?

Schön, dass es Ihnen gut geht und der Jobverlust zum eigentlichen Segen für Sie und Ihre Frau wurde. Hatten Sie bisher keine Probleme damit, dass Sie zwar in der Türkei leben, in der Schweiz aber nicht abgemeldet sind?

Max Müller
Max Müller
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@Melanie Eichenberger

non, nous n'avons pas eu de problème jusqu'à présent, nous sommes inscrits en Suisse et la commune de résidence est également informée. Seul le consulat suisse ici en Turquie ne nous connaît pas.

nein, wir hatten bisher keine Problem damit, wir sind in der Schweiz angemeldet und die Wohnort-Gemeinde ist auch darüber informiert. Einzig dem CH-Konsulat hier in der Türkei sind wir nicht bekannt

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