Icône du cinéma suisse, Bruno Ganz fête ses 75 ans
Avec Erika Halm dans "Es Dach überem Chopf", 1962, de Kurt Früh
(RDB)
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Avec Dennis Hopper dans "L'Ami américain", 1977, de Wim Wenders
(RDB)
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Avec Klaus Kinski dans "Nosferatu, fantôme de la nuit", 1979, de Werner Herzog
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"L'Inventeur", 1980, de Kurt Gloor
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Avec Isabelle Huppert dans "La Dame aux camélias", 1981, de Mauro Bolognini
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"Le Faussaire", 1981, de Volker Schlöndorff
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Avec Tina Engel dans "Pères et fils", 1986, de Bernhard Sinkel
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Avec Otto Sanders dans "Les Ailes du désir", 1987, de Wim Wenders
(AFP)
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"Brandnacht", 1992, de Markus Fischer
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"L'Eternité et Un Jour", 1998, de Theo Angelopoulos
(AFP)
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"Pain, Tulipes et Comédie", 2001, de Silvio Soldini
(Keystone)
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Incarnant Oedipe dans Oedipe de Sophocle à Colone, Burgtheater de Vienne, 2003, mis en scène par Klaus Michael Grüber
(Keystone)
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Avec Heino Ferch dans "La Chute", 2004, d'Oliver Hirschbiegel
(Keystone)
Keystone
Avec Theo Gheorghui dans "Vitus", 2008
(AFP)
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Avec Anuk Steffen dans "Heidi", 2015, d'Alain Gsponer
(zodiac pictures)
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Il a joué un ange («Les Ailes du désir»), Hitler («La Chute»), un grand-père («Heidi» et «Vitus»), Dracula «Nosferatu, fantôme de la nuit», un «Inventeur» ou encore un serveur («Pain, Tulipes et Comédie»): Bruno Ganz, le plus célèbre des acteurs suisses, fête ses 75 ans le 22 mars 2016.
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Études d’histoire et de sciences politiques à l’Université de Berne. A travaillé auparavant chez Reuters, au Bund, à la Berner Zeitung et à Radio Förderband. Fortement intéressé par l’exercice de la démocratie directe moderne en Suisse, sous toutes ses formes et à tous les niveaux, les citoyennes et les citoyens figurant toujours au centre de l’attention.
De la scène de théâtre au grand écran: c’est en résumé la carrière de ce Zurichois, fils d’un ouvrier suisse et d’une fermière du nord de l’Italie, qui appartient aujourd’hui au cercle des acteurs germanophones les plus connus. Mais malgré les nombreuses distinctions qu’il a reçues, Bruno Ganz préfère aujourd’hui encore parler de son œuvre devant un auditoire plutôt que dans les médias.
«En privé, il apparaît souvent comme un homme timide et introverti issu de la campagne. Sur scène et sous les projecteurs, en revanche, il prend une certaine grandeur, il y a une certaine italianité qui ressort», expliquait en 2012 le cinéaste suisse Fredi M.Murer à swissinfo.ch. Lors du tournage de «Vitus», Fredi M.Murer a dirigé un Bruno Ganz très précis et concentré, mais également solitaire: «Je crois que lorsqu’il est dans son personnage, il ne veut pas être abordé en tant que Bruno Ganz».
(Texte: Renat Kuenzi, sélection des photos: Ester Unterfinger)
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