Retranchés dans le fort qui domine la ville, ces soldats croates observent la situation.
Thomas Kern
Une habitante de la vieille ville devant sa maison détruite.
Thomas Kern
Un soldat croate au bord de la piscine d’un hôtel abandonné. Et la plaque d’une voiture brûlée.
Thomas Kern
A quelques encablures de la vieille ville que l’on voit au loin, cet hôtel partiellement détruit n’accueille plus de touristes.
Thomas Kern
La vie continue, même pendant le siège.
Thomas Kern
Avant-poste croate, près de la ligne de front.
Thomas Kern
Soldats croates hors de la ville, près de la ligne de front.
Thomas Kern
Quelques habitants de Dubrovnik essayent de s’embarquer sur un des rares bateaux pour Rijeka, épargnée par les combats.
Thomas Kern
Il aura fallu que les Serbes et les Monténégrins se mettent à bombarder Dubrovnik à la fin de l’automne 1991 pour que l’Occident réalise que la flamme des nationalismes allait bouter le feu aux Balkans. Plus de 2000 obus tomberont sur la perle de l’Adriatique au cours de la guerre.
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J'ai suivi une formation de photographe à Zurich et j'ai commencé à travailler comme photojournaliste en 1989. J'ai été l'un des fondateurs de l'agence photographique suisse Lookat Photos en 1990. Deux fois lauréat du World Press Award, j'ai également reçu plusieurs bourses nationales suisses. Mon travail a fait l'objet de nombreuses expositions et est représenté dans plusieurs collections.
1er octobre 1991: l’électricité, les lignes de téléphone et l’eau sont brusquement coupés. Au large, les navires de guerre yougoslaves bloquent l’accès à la ville. Serbes et Monténégrins ne veulent pas de l’indépendance de la Croatie. Le siège a commencé. Les pires combats auront lieu le 6 décembre, quand les assiégeants lancent près de 600 grenades sur la vieille ville pour forcer les habitants à fuir. Le siège durera jusqu’au printemps 1992. Les troupes serbo-monténégrines se déplacent alors en Bosnie, où de nouveaux foyers s’allument. (photos: Thomas Kern)
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